Une centaine d’élus communistes et progressistes, dont Dominique Dellac, appellent à garantir le droit de manifester des jeunes lycéens.
"Le gouvernement déchaîne une violence inouïe contre les lycéens et les lycéennes mobilisés.
A Garges, dans le Loiret, à Bordeaux, à Mantes-la-jolie… trop de blessés. Des arrestations, des gardes à vue pour un tag comme à Ivry... Le pouvoir perd les pédales et semble chercher la bavure. Nous n’acceptons pas cette instrumentalisation politique. Nous refusons la surenchère violente et sécuritaire voulue par Macron et qui peut conduire au drame.