- Détails
En 2006, lorsque le gouvernement de Dominique de Villepin était passé en force avec le 49.3 pour faire adopter le projet de loi Egalité des chances comprenant le Contrat première embauche (CPE), François Hollande alors premier secrétaire du PS déclarait : « Malgré ce passage en force, nous poursuivrons le débat parlementaire. Le 49-3 est une brutalité, le 49-3 est un déni de démocratie, le 49-3 est une manière de freiner ou d'empêcher le débat parlementaire ». En mai 2008, lors de l'examen du projet de réforme des institutions, la gauche avait plaidé pour sa suppression totale. L'amendement en question avait été déposé par dix députés socialistes dont... Manuel Valls !
- Détails
Qui aurait cru qu’un mois et demi après le 31 mars, les « Nuits debout » se poursuivent encore, Place de la République et ailleurs, en banlieue et en France ?
Ce mouvement bouillonnant de citoyens, de tous âges et de multiples horizons évolue au fil de l’actualité politique et sociale. La Loi Travail, point de départ de la mobilisation, n’est plus le seul sujet abordé lors des rencontres nocturnes.
- Détails
Commémoration du 8 mai à Montfermeil : une honte pour le maire.
Communiqué de presse de Dominique Dellac, conseillère départementale de Montfermeil, Coubron, Vaujours, Tremblay.
- Détails
8 femmes ont témoigné auprès de Médiapart et de France Inter des agressions sexuelles perpétrées par Denis Baupin. Elles ont trouvé le courage, de briser le silence, de dépasser la culpabilité, ressentie par les femmes victimes d’agression, de faire fi des menaces de « briser leur réputation ou leur carrière ». « L’affaire » est sortie mardi 10 mai et depuis, la parole se libère. Des femmes, des collaboratrices, des élues, des journalistes… Toutes dénoncent le sexisme ambiant en politique. Il ne s’agit pas toujours d’agressions physiques ou sexuelles, mais d’un climat qui imprègne, d’un paternalisme affirmé, d’enjeux de pouvoir.
- Détails
Le mardi 5 avril, à un an d’un scrutin majeur, les députés de la majorité ont définitivement adopté une loi dite de « modernisation des règles applicables à l’élection présidentielle ». C’est devenu une habitude de baptiser de « moderne » des dispositions qui actent des régressions. En l’occurrence, les règles de répartition du temps de parole des candidats aux élections présidentielles sont modifiées.
- Détails