Après Tremblay, c’est la commune de Coubron qui a décidé, à l’unanimité de son conseil municipal, d’allouer une subvention de 2 000 euros à la CRIIRAD pour mener des recherches indépendantes sur le site du Fort de Vaujours et pour accompagner les élus et les associations dans leur combat pour le respect du principe de précaution sanitaire et environnementale.
Séance du conseil départemental du 10 novembre 2016
« Nous nous réjouissons que le Plan piscine considéré comme prioritaire, voit le jour aujourd’hui. Lors de l’inauguration de la piscine Rosa Parks à Clichy-sous-Bois, Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, a déclaré : « Nager n’est pas un luxe, mais une liberté ». Comment ne pas partager cette déclaration ? Et une sécurité vitale pourrait-on ajouter. A ce titre, savoir nager est une priorité nationale
L’Union nationale de la propriété immobilière (UNPI) vient de publier l’évolution de la taxe foncière entre 2010 et 2015 dans notre département. On y apprend que Montfermeil, avec une hausse de 25%, est en troisième position sur les 40 villes de Seine-Saint-Denis. Les propriétaires s’en étaient aperçus. La hausse de 13% en 2015, reconduite en 2016, a entraîné une augmentation de plusieurs centaines d’euros par foyer. Si on y ajoute la hausse de la taxe d’habitation, notre ville est parmi les plus imposées du département. Les Montfermeillois payent très cher pour habiter une ville sans équipements public. Pas étonnant qu’ils signent par centaines notre pétition pour une baisse de 10% des impôts locaux.
Lettre à la Fédération départementale du Secours Populaire, au Siège départemental des Restos du Cœur, à la Délégation départementale du Secours Catholique
La période hivernale nous rappelle chaque jour à quel point l’existence d’associations de solidarité telles que celles dont vous êtes les responsables départementaux sont vitales.
Comme partout, la précarité n’épargne pas la population montfermeilloise, qui est de plus en plus confrontée aux difficultés financières quotidiennes.
Conseillère Municipale au sein du groupe Front de Gauche à Montfermeil depuis 2008, nous portons régulièrement la question de la présence des associations de solidarité sur notre ville.
Deux associations reçoivent à ce jour les Montfermeillois :
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Robert Ménard, le maire de Béziers proche du Front National, a fait éditer une affiche qui rappelle celle que les nazis placardaient sur les murs de France. A l’époque les juifs étaient les boucs émissaires. Aujourd’hui, ce sont les migrants. On y voit un groupe de migrants devant la cathédrale Saint-Nazaire. Avec comme texte : « Ils arrivent » et « Les migrants dans notre centre-ville ! ». Cette affiche a immédiatement été détournée sur les médias sociaux.
La pose symbolique du premier rail du T4 vers Clichy et Montfermeil a eu lieu le 18 octobre, en présence de nombreux élus, des représentants de l’État et de la SNC. Il devrait être mis en circulation en 2019.
A cette occasion, le ministre de la Ville, Patrick Kanner, a confirmé l’engagement de l’État en faveur de ce projet et d’autres, qui visent le développement et le rayonnement de notre territoire (Grand Paris
Express, Médicis Clichy Montfermeil…).
De nombreux militants syndicaux et élus, dont Dominique Dellac, s’étaient rassemblés devant le tribunal de Bobigny pour accompagner les quinze salariés d’Air France poursuivis pour « violence et dégradations ». Le procureur a requis des peines allant de 2 à 4 mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende.
Cette tendance à considérer l’action syndicale comme un délit n’est pas isolée. C’est une constante de la politique gouvernementale qui veut discréditer le syndicalisme de lutte pour promouvoir un syndicalisme de cogestion avec le patronat. A peine élu, François Hollande avait donné le ton en refusant d’amnistier les syndicalistes condamnés pour leur militantisme durant la présidence Sarkozy.
C’est un aspect moins connu de la loi Alur, pour l’accès au logement et un urbanisme rénové, la disparition de l’OPIEVOY (Office public interdépartemental de l’Essonne, du Val-d’Oise et des Yvelines) au 31 décembre 2016, deuxième plus grand office HLM de France.
En Seine-Saint-Denis, cela concerne 6000 logements, dont 200 à Montfermeil (Les Jardins de l’Hôtel de Ville, et la résidence du 32 au 38 boulevard Hardy).
« Au risque de nous répéter, les mêmes causes produisant les mêmes effets, chaque vote budgétaire nous fournit les éléments tangibles et irréfutables de votre obstination à persévérer dans une surimposition injustifiée des Montfermeillois.
Rappelons que le produit des impôts locaux est de 16 millions.
Encore une fois, l’excédent de l’exercice 2015 (10,5 millions d’euros, dont 8,3 millions pour la section de fonctionnement) fait la démonstration que 25% des recettes totales, soit 50% du produit d’impôt, n’ont pas été dépensés en 2015
Les collectivités pouvaient solliciter l’enveloppe exceptionnelle de 50 millions d’euros du Fonds interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (FIPDR) pour sécuriser les écoles face aux risques d’attentat.
A Montfermeil, les écoles Wallon, Ferry élémentaire et maternelle, Joliot-Curie élémentaire et maternelle sont retenues.
Les élus FDG se sont abstenus car plusieurs questions se posent :
Suite à votre communiqué du 13 septembre, nous souhaitons vous faire part de notre sentiment mais également de notre étonnement.
La découverte d’un abattoir clandestin sur notre commune est en effet inacceptable. Comme vous, nous saluons le travail de coopération entre la Police nationale et la Police intercommunale pour démanteler rapidement et efficacement ce trafic.
C’est parti. Enfin ! Après 10 ans d’attente et alors que les travaux concernant les réseaux enterrés ont débuté il y a 18 mois, le chantier de réalisation du T4 commence, inauguré le 18 octobre par une pléiade d’élus et par le ministre de la Ville. La mise en service est prévue pour 2019. 11 stations, dont 5 à Montfermeil (Notre-Dame-des-Anges, Parc Jean-Valjean, Hôpital, Henri-Barbusse, De Kock) en liaison à Livry-Gargan avec le RER B et le RER E.
Les départements ont obtenu fin septembre une rallonge du fonds d’aide d’urgence aux départements en difficultés, portant l’enveloppe à 200 Millions d’Euros (moitié moins que les exigences de l’Association des Département de France).
200 millions à partager entre 20 collectivités, autant dire que le compte n’y est pas !
Pour la seule Seine-Saint-Denis, c’est déjà 27 millions d’euros que le Département a ajouté au financement du RSA en juin
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