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Parmi les nombreuses interventions d’enseignants et d’élus, et les 9000 signatures citoyennes de soutien à Hervé, signalons celle de Stéphane Testé, député LREM de notre circonscription. Dans un tweet, celui-ci s’autorise sans vergogne à revendiquer la paternité de la levée de l’Obligation de Quitter le Territoire Français qui frappait Hervé. Faut-il lui rappeler qu’avec ses collègues de la LREM, il a voté la loi Asile et Immigration ? Une loi  qui organise la réduction

Félicitons-nous de la place accordée dans notre commune aux cérémonies et initiatives qui ont marqué le centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale.

Depuis 2012, à l’initiative de N. Sarkozy, une loi en a fait le jour où l’on commémore les morts pour la France de toutes les guerres, jusqu’aux opérations extérieures actuelles. Ce choix très discutable sème la confusion sur les dimensions spécifiques de chacune de ces guerres et dilue la puissante aspiration à la paix, le « plus jamais ça Â» des soldats revenus de l’enfer des tranchées.

Le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis attaque l’Etat en justice pour rupture de l’égalité républicaine. En cause : la méthode de «contractualisation» imposée autoritairement aux collectivités territoriales par le président de la République pour limiter leurs dépenses et qui prévoit de plafonner à 1,2% le taux d’augmentation des dépenses pour soit disant pour tenir compte des disparités locales, en réalité pour contraindre les collectivités locales à mettre en Å“uvre des politiques d’austérité. Ce taux devait être négociable pour tenir compte des réalités locales. Ajoutons que les collectivités territoriales qui refuseraient ce « contrat Â» verraient leurs dotations réduites.

11novembre2018 111novembre2018 2Sur la page facebook de la ville de Montfermeil, un reportage photo illustre les commémorations du 11 novembre. Une nouvelle façon de communiquer de façon plus (trop ?) rapide sur l’activité dans la ville et de ses élu.e.s…. mais pas de tous ! Le jour-même, une photo légendée « les élus du PCF Â» (qui présentait en réalité les élus « Ã©cologistes Â») a été postée puis effacée… Il ne reste donc QUE la photo des élus Les Républicains, déposant leurs fleurs au pied du monument aux morts. Qu’on vous rassure, les élus Front de gauche étaient aussi présents à cette nécessaire commémoration. 100 ans après, où en sommes-nous de la paix et de l’Europe ? Nous vous invitons à lire la tribune des élus municipaux FDG dans le magazine municipal.

Un amendement du projet de loi de finances 2019 prévoyait de soumettre aux cotisations sociales les activités organisées par les comités d’entreprises ou certains employeurs, comme les chèques vacances ou les aides aux activités culturelles... Un amendement qui n’est pas passé inaperçu chez les syndicats et dans les médias et qui a été heureusement rejeté par le Sénat, à l’unanimité.

Mais la suppression de l’article ne signifie pas que la question soit réglée. Le gouvernement veut toujours faire la chasse aux prestations dont bénéficient les salarié.e.s. Nous connaissons bien ses velléités à taxer

La cour européenne des droits de l’homme, a jugé irrecevable la requête de 146 maires, dont Xavier Lemoine, qui prétendaient refuser de célébrer un mariage entre 2 personnes du même sexe au nom de leur liberté de conscience. Les récalcitrants à la loi Taubira s’exposent donc à une amende de 75 000€ d’amende et à 5 ans d’emprisonnement et de privation des droits civiques…Décision de la cour sans possibilité d’appel ! La cour européenne considère que le maire agit comme officier d’état civil, représentant de l’État, et non en tant que personne. Réunis en collectif, ces maires s’entêtent : ils ont également saisi le comité des droits de l’homme de l’ONU.

La Fonction publique et les fonctionnaires sont dans le collimateur du gouvernement. Sont annoncés : la suppression de 50 000 postes de fonctionnaires, la réforme du statut, la privatisation de pans entiers des services publics, le recrutement de salariés hors statut et de contractuels, le développement de la rémunération au mérite. Pour inciter au départ, le gouvernement envisage de généraliser les indemnités de départ. Il n’oublie pas non plus la fonction publique territoriale, qui devrait supprimer 70 000 postes. Objectif poursuivi : baisser la dépense publique de 60 milliards d’ici 2022 et donc faire des économies drastiques tout en désignant des boucs émissaires…

 

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