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57 mesures pour faire de l'égalité garantie par la loi une réalité sur le terrain. Avec l'adoption du Plan d’actions 2019-2021 pour l’égalité entre les femmes et les hommes, notre Département poursuit son engagement dans ce domaine : évaluation de l'impact des politiques publiques en termes de genre, lutte contre la prostitution des jeunes, soutien aux programmes d'aide à l'orientation professionnelle non genrée, autonomie et emploi des femmes, place des femmes dans l'espace public.

contre EDLe 3 avril, un rassemblement contre le racisme et la xénophobie était organisé à Bobigny suite à l'envahissement de la CAF par Génération Identitaire, un groupuscule d'extrême droite. Un événement qui faisait lui-même suite à de terribles attaques visant les populations roms, notamment dans notre département.

Dominique Dellac a pris la parole au nom du groupe PCF - Front de Gauche du Département pour rappeler notre engagement contre toutes les formes de haine et de division et dénoncer leur utilisation politique notamment par le Rassemblement National (ex-FN).

Alors, qui dit vrai ? Depuis dix jours, les membres du gouvernement ne cessent de se contredire sur la question du maintien ou non de l’âge d’ouverture des droits à la retraite. Désormais, deux discours coexistent au sommet de l’État. D’un côté, certains invoquent « les engagements pris » de ne pas toucher à l’âge légal. De l’autre, l’Élysée et Matignon continuent de jouer la partition du « tout est sur la table », dans la perspective d’une prise en charge accrue du risque de dépendance liée au grand âge.

Le 26 septembre 2018, les parlementaires du département avaient été reçus par le Premier ministre pour discuter des défaillances de l’Etat dans l’éducation, la justice et la police. Cela faisait suite à la remise d’un rapport parlementaire dénonçant les inégalités territoriales. Depuis la plainte pour « discrimination territoriale » déposée en 2009 devant la Halde, devenue aujourd’hui le Défenseur des droits, ces discriminations sont connues de tous et s’aggravent d’années en années : deux fois plus de personnes au chômage qu’ailleurs, trois fois plus de personnes vivant sous le seuil de pauvreté qu’à l’échelle nationale;

Pendant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait dit son hostilité aux statuts des salariés du secteur public et annoncé la suppression de 120 000 emplois – dont 70 000 dans la fonction publique territoriale. Élu, il a donné la priorité à l’achèvement de la réforme du code du travail pour faire du contrat individuel de droit privé la référence pour le privé comme pour le public.

Un mois après la première journée de convergence avec les gilets jaunes, qui avait vu défiler plus de 300 000 personnes, les syndicats souhaitaient amplifier le mouvement. Ils avaient pris le relais en proposant la grève et la mobilisation le mardi 19 mars, pour faire entendre leurs revendications sur les salaires et les services publics. Le 27 mars, jour de la présentation du projet de réforme de la fonction publique au conseil des ministres, les agents publics se sont rassemblés devant les préfectures. Leurs organisations syndicales ont déjà décidé une journée d’action et de grève le 19 mai pour la revalorisation de leurs rémunérations et contre la suppression de 120 000 emplois prévue dans la réforme.

Le 16 mars marquait la fin officielle du Grand Débat. 10.000 réunions, 1,5 million de contributions, 16.000 cahiers remplis… Une réussite démentant les prédictions du désintérêt des français pour la « chose publique ». Pourtant dans les médias, nous avons surtout pu assister au one man show du Président, rencontrant des élèves, des collégiens, des salariés, des élus…

 

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