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Permanence de Dominique Dellac.
En mairie de Montfermeil.
Mardi 15 septembre de 19h à 20h
Lundi 12 octobre de 19h à 20h
Lundi 16 novembre de 19h à 20h
Droit de réponse
Dans un article du magazine municipal de juin, M. Salvatore, maire-adjoint, a tenu à mon égard des propos agressifs et injurieux.
Je ne lui en fais pas grief. Pour plusieurs raisons.Tout d’abord parce que, comme le dit si bien le dicton : tout ce qui est outrancier est insignifiant…
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Mais où était Xavier Lemoine ?
Cette fin de semaine fut riche en événements locaux d’importance pour l’avenir de notre ville et la vie de ses habitants.
Vendredi, l’Association cultuelle des musulmans de Montfermeil organisait la pose de la première pierre de la future mosquée. Etaient présents : le président de l’Assemblée nationale, le président du conseil départemental, les députés des circonscriptions de Montfermeil et Villemomble, les maires de Clichy et Sevran, les consuls du Maroc, d’Algérie et de Tunisie… Dominique Dellac était également présente. Mais pas le maire de Montfermeil !
Samedi, des centaines personnes se sont rassemblées à l’entrée de l’usine Placoplatre pour manifester leurs inquiétudes concernant la santé publique et l’environnement ; ainsi que leurs exigences de transparence et d’application du principe de précaution quant à l’exploitation du Fort de Vaujours. Etaient présents les maires de Courtry, Coubron, Villevaudé, Le Pin, MItry-Mory, les conseillers départementaux Dominique Dellac et Pierre Laporte pour le Front de Gauche et Frédérique Denis pour Europe Ecologie/ Les Verts, le député François Asensi… Mais pas le maire de Montfermeil !
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Commémoration devant la stèle de Perdrigé à l’occasion de la cérémonie du 31 mai 2015 au Panthéon
« L'histoire à mains nues prend place au Panthéon, le temple glacé des grands hommes, où deux femmes viendront rejoindre un silence très masculin. Germaine Tillion, Geneviève Anthonioz-de Gaulle, Jean Zay et Pierre Brossolette sont quatre facettes d'un courage qui a conduit des hommes et des femmes, une poignée d'abord dans l'hébétement d'une défaite, à relever la tête, à refuser l'ordre noir, à jouer leurs vies pour l'avenir. Le ferment semé a levé et la France a fait nation, combattants des villes et des campagnes, résistants immigrés et antifascistes de toujours. Des ruines a surgi le progrès social; de la misère une dynamique économique et d'invention démocratique.
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Appel au Président de la République
« La place de la France est aux côtés du peuple grec »
Monsieur le Président de la République,
La crise grecque s'exacerbe de façon alarmante. Chaque jour qui passe peut, soit nous rapprocher d'un accord utile à toute l'Europe, soit d'une rupture dont personne ne peut prévoir les conséquences. L'intransigeance des principaux dirigeants européens peut nous conduire alors au bord de l'abîme. Il est aussi vital que pressant de sortir de ce piège. Le moment est crucial. La responsabilité de chaque acteur concerné est directement engagée. Il serait sordide -et au demeurant parfaitement vain- d'escompter une capitulation du gouvernement grec. La fidélité de celui-ci au mandat que lui a confié son peuple n'est pas un défaut mais un exemple à suivre. S'il refuse la compromission, il s'est, en revanche, montré prêt au compromis. Une solution à la fois digne et réaliste est donc à portée de la main. Le moment ultime est venu pour la concrétiser. C'est dans ce contexte que nous vous lançons un appel solennel : la France ne peut, dans un tel moment, apparaître inerte sinon suiviste des puissants. Son message ne peut se réduire à un rappel docile des "règles" à respecter quand la maison brûle. D'autant que ces règles sont aujourd'hui massivement récusées par les peuples et reconnues contreproductives par nombre de leurs anciens protagonistes eux-mêmes.
Aujourd'hui, alors que la crise de confiance entre les citoyens et les institutions
européennes est à son comble, c'est en se montrant capable d'entendre l'exigence dejustice, de dignité et de souveraineté d'un peuple debout qu'un pays comme le nôtre sert la cause européenne bien comprise. A l'inverse, qui humilie la Grèce obère l'avenir de la construction européenne. Car le refus de l'austérité et l'aspiration démocratique sontaujourd'hui en Europe les attentes les plus partagées.
C'est pourquoi nous attendons de vous, que vous preniez une initiative politique de natureà débloquer les négociations entre l'"Eurogroup" et les autorités grecques. Nous n'évoquerons pas ici les transformations profondes à promouvoir en Europe qui font débat entre nous. L'acte urgent que nous vous demandons d'accomplir est de refuser de participer à la stratégie d'isolement de la Grèce, concernant en particulier le chantage financier et la nature des "réformes" exigées du gouvernement et du Parlement de ce pays. Apportez un soutien explicite aux mesures saines prises par les autorités grecques, telles que celles qui s'attaquent à la crise humanitaire en Grèce, ou qui permettent enfin de lutter contre l'évasion fiscale. Désolidarisez-vous en revanche nettement des exigences insoutenables de l'"Eurogroup" en matière de dérégulation du marché du travail, de révision du système des retraites ou de privatisations. Acceptez enfin le principe d'une renégociation de la dette grecque, dont une large part est notoirement illégitime.
Cette situation est sans précédent dans l'Union européenne. La France doit prendre la place qui est la sienne dans l'Histoire, celle-ci est aux côtés du peuple grec et de son gouvernement.
Les signataires
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, président du PGE
Dominique Adenot, PCF, président de l'ANECR, maire de Champigny,
Pouria Amirshahi, député PS
François Asensi, député de Seine St Denis GDR, maire de Tremblay en France
Eliane Assassi, Présidente du groupe CRC au Sénat
Isabelle Attard, députée Nouvelle Donne
Clémentine Autain, porte parole d'Ensemble
Marinette Bache, Conseillère de Paris, RetS,
Guillaume Balas, député européen PS
Martine Billard, Bureau national PG
Julien Bayou, porte parole EELV
Michel Billout, Sénateur CRC
Frédéric Boccara, économiste
Eric Bocquet, Sénateur CRC
Jean-François Bolzinger, syndicaliste
Marie George Buffet, députée GDR
Fanelie Carrey-Conte, députée PS
André Chassaigne, Président du groupe GDR,
Laurence Cohen, Sénatrice CRC
Eric Coquerel, coordinateur général du PG
Catherine Coutard, Vice présidente du MRC
Thomas Coutrot, militant associatif
Karima Delli, députée europénne EELV
Michèle Demessine, Sénatrice CRC
Bernard Devert, syndicaliste
Jean Pierre Dubois, militant associatif
Marc Dolez, député GDR
Hervé Falciani, lanceur d'alerte
Bastien Faudot, Secrétaire national et porte parole MRC
Jean Pierre Fourré, Vice président honoraire Assemblée nationale, Ret S
Jacqueline Fraysse, Députée GDR
Elisabeth Gauthier, réseau Transform ! Europe
Liem Hoang Ngoc, socialiste affligé
Frédéric Hocquart, conseiller PS de Paris
Nordine Idir, secrétaire général Jeunes communistes
Lucien Jallamion, Secrétaire Général République et Socialisme
Michel Jallamion, Convergences des Services Publics
Eva Joly, députée européenne EELV
Pierre Khalfa, Co-président Fondation Copernic
Pierre Larrouturou, Nouvelle Donne
Jean Luc Laurent, député, maire de Kremlin Bicètre, Président du MRC,
Marie-Noelle Lienemann, Sénatrice PS
Patrick Le Hyaric, député européen GUE-NGL, directeur de l'Humanité
Emmanuel Maurel, député européen PS
Gus Massiah, mouvement social
Jean Luc Mélenchon, député européen GUE-NGL
Alain Obadia, PCF, Président fondation Gabriel Péri
Younous Omarjee, député européen GUE-NGL
Christian Picquet, Gauche Unitaire
Barbara Romagnan, députée PS
Sandrine Rousseau, porte parole EELV
Anne Sabourin, PCF - Coordinatrice Forum européen des Alternatives
Lydia Samarbakhsh, PCF, responsable International
Nicolas Sansu,
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Le Président de la République a décidé la « panthéonisation » de 4 figures de la Résistance : Geneviève Anthonioz-de Gaulle, Pierre Brossolette, Germaine Tillon et Jean Zay. Nul ne peut contester leur engagement individuel à l’heure où la marée brune avait envahi la France. Mais force est de constater qu’en ne retenant aucune figure communiste, le Président s’est livré à une médiocre opération politicienne ; pire : à une falsification de l’histoire. Les communistes ont payé un lourd tribut à leur engagement dans la Résistance et dans la Libération qui leur valu le qualificatif de « parti des fusillés ». C’est pourquoi, les communistes de Montfermeil ont décidé de participer à cette cérémonie nationale en se rassemblant, avec leurs amis, devant la stèle de Daniel Perdrigé, maire communiste fusillé par les Allemands. Au cours de ce rassemblement, Angélique Planet-Ledieu prononça une allocution (voir en rubrique événement).
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Solidarité avec la Grèce
Ils veulent mettre la Grèce à genoux. Ils ne supportent pas qu’un gouvernement respecte ses engagements démocratiques. Ils : les « partenaires » européens de la Grèce, le FMI, la BCE. Angela Merkel l’avait déclaré : la démocratie doit tenir compte des milieux financiers. La voix du peuple, oui, à condition qu’elle soit conforme aux exigences de profit financier. Démocratie ou libéralisme, il faut choisir. Un véritable bras de fer qui ne concerne pas que les Grecs, mais tous les peuples d’Europe. Car c’est bien la peur de la contagion qui mobilise tous les tenants du libéralisme. « Nous ne sommes pas seulement les héritiers d’une longue histoire de luttes. Nous portons aussi sur nos épaules la dignité de notre peuple autant que les espoirs des peuples de toute l’Europe », a déclaré Alexis Tsipras. « Ce n’est pas une question d’obsession idéologique, c’est une question de démocratie. Et la démocratie européenne, nous n’avons pas le droit de l’enterrer à l’endroit où elle est née. »
Du 20 au 27 juin : semaine de solidarité avec la Grèce (voir texte de l’Appel au Président de la République dans notre rubrique Evénement)
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Appel de Tasos Koronakis, secrétaire du comité central de la SYRIZA
Après presque quatre mois de négociations intensives, nous avons atteint un moment de vérité pour notre projet européen commun. Le gouvernement dirigé par SYRIZA fait de son mieux pour parvenir à un accord honorable avec ses partenaires européens et internationaux respectant à la fois les obligations de la Grèce en tant qu'Etat membre-européen, mais aussi le mandat électoral du peuple grec.
Le gouvernement dirigé par Syriza a déjà entamé une série de réformes qui s’en prennent à la corruption et à l'évasion fiscale généralisée. Les dépenses sont freinées et les recettes fiscales collectées dépassent les attentes,