Edito du collectif:
L’évasion des premiers de cordée
Certains voudraient nous faire croire à un conte de fée moderne : par ruissellement, l’argent des plus riches alimenterait les couches moyennes et populaires. Donner plus aux riches en réduisant l’Impôt sur la fortune serait une bonne action. Conte de fée que le gouvernement nous raconte pour nous endormir. Mais l’enquête mondiale menée par le Consortium international des journalistes d’investigation montre la vérité toute nue. Que font les premiers de cordées lorsqu’ils ont atteint le sommet de l’Everest financier ? Ils se gavent encore plus ! En toute légalité. Car il ne s’agit pas de fraude, mais d’évasion fiscale rendue possible par des lois passoires. Les chiffres donnent le tournis et la nausée ; et suscitent la colère. Au plan mondial, on parle de milliers de milliards d’euros ; entre 30 et 80 milliards pour la France. Tant d’argent volé au travail des femmes et des hommes de notre planète, dont certain(e)s vivent dans le dénuement le plus complet ; tant d’argent soustrait à la dépense publique pour la santé, le logement ou l’éducation ; soustrait à l’intérêt général et à la solidarité pour satisfaire la cupidité cynique des plus riches. Les auteurs d’un manifeste publié au XIXème siècle dénonçaient déjà « les eaux glacées du calcul égoïste » ; 150 ans après, les « eaux glacées » du capitalisme engendre toujours le même « calcul égoïste ». Pour combien de temps encore ? Olivier D’Henry, conseiller municipal, porte-parole du Front de Gauche
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Montfermeil sur le podium… pour la hausse de la taxe foncière
Selon l’étude réalisée par l’Union nationale de la propriété immobilière (UNPI) consultable sur son site www.unpi.org, la hausse moyenne de la taxe foncière entre 2011 et 2016 dans les quarante communes de notre département est de 16,87%. La majoration des valeurs locatives décidées par le gouvernement et l’augmentation de la part départementale étant les mêmes pour toutes les communes, la différence d’augmentation entre commune relève uniquement des choix municipaux.
Xavier Lemoine peut se réjouir de sa politique fiscale qui situe notre commune, avec une hausse de 23,59%, dans le trio de tête des champions de l’augmentation, derrière Saint Ouen (38,09%) et Le Bourget (23,60%). Si notre commune persiste à refuser de recourir à l’emprunt la situation pourrait encore s’aggraver avec la suppression de la taxe d’habitation, car alors la taxe foncière sera la seule variable d’ajustement budgétaire.
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Hypocrisie (1)
Le maire a édité un bilan de mi-mandat Avancer ensemble (au moins 50 000 euros aux frais des Montfermeillois). Un bilan d’autosatisfaction car pour le maire, le doute n’est pas permis : « tout est pour le mieux (à Montfermeil) dans le meilleur des mondes possibles ». Nous renvoyons à la tribune des conseillers municipaux Front de gauche à paraître dans le magazine municipal de décembre. Nous voulons ici attirer l’attention sur une petite hypocrisie politicienne : page 31, dans une rubrique dénommée « Bâtiments communaux / Les chantiers d’avenir » une brève présente la nouvelle mosquée en construction (bonjour la laïcité !). Ce que cette brève ne dit pas c’est l’acharnement du maire et son instrumentalisation de la justice depuis des années pour faire fermer la mosquée actuelle.
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Hypocrisie (2)
Toujours dans ce supplément au magazine municipal, une page entière est consacrée à l’inauguration, en présence du Président de la République, de la fresque réalisée par JR. Ce que ne dit pas la légende photo, c’est les huées qui ont accueilli le maire de Montfermeil. Pas plus qu’elle ne fait état de la plainte déposée en 2004 contre JR par le maire de Montfermeil pour affichage illégal. Ce qui était illégal hier devient objet de propagande municipale aujourd’hui. Certains s’interrogent pour savoir s’il s’agit pour le maire d’un « conversion sincère ou d’une récupération habile ». Poser la question c’est y répondre !
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Cérémonie du 11 novembre conclue par l’hymne de l’OAS
A Montfermeil, la cérémonie du 11 novembre s’est terminée sur la musique du Chant des Africains. On pourrait penser que ce choix était destiné à saluer la mémoire des Africains de « nos colonies » morts non pas pour la patrie mais « pour des industriels » (Anatole France) dans cette effroyable boucherie humaine que fut la guerre de 14-18. Mais on peut en douter lorsque l’on sait que ce chant fut, durant la guerre d’Algérie, « l’hymne » des partisans de l’Algérie française, le chant de l’OAS, organisation terroriste qui multiplia les attentats… Après l’indépendance de l’Algérie en 1962, les musiques et fanfares militaires françaises ne furent pas autorisées à le jouer et il a été interdit jusqu’en 1969. En 2008, le Préfet des Hautes-Pyrénées a interdit qu’il soit joué par une fanfare militaire.
Ce chant fut composé par le capitaine F. Boyer qui fut affecté en 1941 aux Chantiers de la Jeunesse d’Afrique du Nord. Des chantiers sensés « régénérer » la jeunesse française en lui inculquant les valeurs de la « Révolution nationale » et qui devint un réservoir de main d'œuvre pour le Service du Travail Obligatoire en Allemagne. A Montfermeil, les cérémonies commémoratives ont parfois un relent nauséabond.
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Espérance banlieues : derrière la vitrine médiatique…
A la rentrée scolaire, la Lettre des élus Front de gauche de Montfermeil alertait les parents sur les dangers du Cours Alexandre-Dumas. A leur tour, les Cahiers pédagogiques, revue spécialisée dans les questions d’éducation, ont publié une interview de Jordi Le Cointe, professeur de SVT au collège Picasso de Montfermeil, faisant état du niveau catastrophique des élèves qui reviennent dans le public après l’expérience d’une ou plusieurs années dans ce cours privé hors contrat. Il y dénonce les méthodes pédagogiques et les manquements dans les apprentissages, que ce soit dans les savoirs ou dans les savoirs-être.
Largement partagée sur les réseaux sociaux, cette interview et le dossier de presse réalisé par le collectif de Montfermeil piquent au vif les dirigeants d’Espérance Banlieues et Xavier Lemoine, qui leur a ouvert les bras avec l’argent des Montfermeillois. Aujourd’hui, ils se sentent obligés d’ouvrir les portes du cours Alexandre-Dumas. Accusés de ne pas être objectifs, les protagonistes de cette interview sont invités par Eric Mestrallet, cofondateur d’Espérance Banlieues lui-même, à venir visiter le Cours qui leur plaira… Un encouragement à poursuivre cette opération vérité sur la réalité de ce réseau et ses dangers.
L’interview : http://www.cahiers-pedagogiques.com/Esperance-banlieues-derriere-la-vitrine-mediatique
Notre dossier : http://montfermeilfrontdegauche.org/images/pdf_fdg/montfermeil_dossier_presseAD.pdf
Contacter le collectif de Montfermeil : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.';document.getElementById('cloaka0aec8b5cf9d0a15fd1aea31317dd81b').innerHTML += ''+addy_texta0aec8b5cf9d0a15fd1aea31317dd81b+'';
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Visite présidentielle
Aux côtés d’Olivier Klein, maire de Clichy, de Valérie Pécresse, présidente de la Région, Stéphane Troussel, président du Département, Stéphane Testé, député, Ludovic Toro, maire de Coubron, et d’Olivier D’Henry, conseiller municipal de Montfermeil, Dominique Dellac faisait partie des élus qui ont accueilli le Président de la République le 13 novembre à Clichy.
Après lui avoir serré la main, elle lui a remis en mains propre les courriers que lui avaient demandé de lui transmettre le CSID et l’ARIFA, associations indispensables au lien social et à la citoyenneté de tous sur notre territoire. Leurs sujets ? La grande inquiétude sur l’avenir de plusieurs emplois aidés menacés - certains à très court terme et d’autres à plus longue échéance - indispensables pour le fonctionnement de ces structures.
Suppression d’emploi et réduction des financements : la double peine pour un grand nombre d’associations, comme en témoignent les initiatives de collectifs d’associations regroupées au plan national….
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Grand Paris Express : « l’Etat respectera ses engagements »
En visite à Clichy-sous-Bois, le Président de la République s’est voulu rassurant quant à la réalisation de la ligne 16 du Grand Paris Express, qui doit desservir Montfermeil et Clichy. A lire la presse, il semblait que sa mise en service en 2023 soit compromise et reportée au-delà de 2030, ce qui avait suscité une levée de boucliers des élus de tous horizons politiques. « L’Etat respectera ses engagements » a-t-il déclaré. Y compris pour le respect des délais et la mise en service prévue pour 2024 et les Jeux Olympiques. La vigilance et la mobilisation restent néanmoins de mise. Car, comme le dit le proverbe : « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».
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Que va devenir l’aqueduc de la Dhuis ?
L’aqueduc de la Dhuis servait autrefois à alimenter Paris en eau, mais aujourd’hui ces eaux sont détournées pour Disneyland. De Chessy à Paris, il ne contient donc plus d’eau et n’a plus d’utilité pour la capitale.
Paris pourrait donc laisser les espaces concernés à la disposition des populations et des villes de l’est parisien, dont Montfermeil et Clichy. Mais Placoplatre lorgne sur cet aqueduc, notamment sur sa partie située à Villevaudé, qui se trouve au milieu de la carrière à ciel ouvert qu'il vient d'être autorisé à exploiter.
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Fort de Vaujours
Lors de la séance du conseil départemental destinée à poser des questions écrites au préfet de Seine-Saint-Denis, Dominique Dellac a posé la question suivante : « Comment le Commissariat à l’Energie Atomique peut-il avoir vendu un terrain de 33 hectares à un groupe industriel privé en vue de l’exploitation du gypse en sous-sol, alors que le Secret Défense n’est toujours pas levé ? Nous exigeons la levée du Secret Défense et vous demandons d’intervenir dans ce dossier à toutes fins utiles. ». Nous ne manquerons pas de vous faire part de la réponse du préfet.
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Parc de la Poudrerie : un plan de sauvetage
L’Etat, la Région et le Département ont signé une convention et pris des engagements financiers à hauteur de 900 000 euros pour préserver le site jusqu’à la fin de l’année 2018. Le Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis versera 500 000 euros supplémentaires pour sécuriser les cheminements et assurer l’entretien des arbres. Pour sa part, le Conseil Régional s’engage à verser 200 000 euros de plus pour réhabiliter trois bâtiments menaçant ruine. Mais une solution pérenne n’a toujours pas été finalisée. Pour ce faire, le Département a présenté un « projet d’avenir » chiffré à 8,5 millions d’euros pour les 5 prochaines années et s’engage à une participation de 2,5 millions. L’Etat participerait pour 2 millions et la Région pourrait contribuer pour 1,9 millions. Resterait 2,1 millions à trouver. Les villes de Sevran, Livry-Gargan, Vaujours, Villepinte, Le Blanc-Mesnil, Aulnay, Drancy, Tremblay pourraient être sollicitées. Toutes les parties doivent se revoir à la mi-décembre pour boucler ce financement et assurer la sauvegarde de ce site de 113 hectares.
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RER B: stop à la galère !
Ralentissements, retards, suppressions de trains, avaries électriques, dégradations des conditions de transport, saturation globale de la ligne… chaque jour, de multiples incidents démontrent aux usagers la nécessite et l’urgence d’un plan d’investissements d’envergure pour les transports en Seine-Saint-Denis.
Les usagers du RER B, estimés à plus d’un million, en ont assez de subir des conditions de transports de plus en plus invivables, qui affectent leur vie quotidienne, personnelle et professionnelle. Faut-il rappeler que le RER A, qui dessert les beaux quartiers et les banlieues de l’Ouest parisien, a bénéficié de 4 fois plus d’investissements que le RER B ? Et que le projet contesté de ligne ferroviaire directe entre Charles-de-Gaulle et Paris - CDG Express - prévoit d’utiliser 24 kilomètre du RERB, ce qui ajouterait encore à la saturation de la ligne ?
Est-ce trop demander que d’exiger régularité, fiabilité, confort, propreté, sécurité ... et priorité des investissements sur le RER B ?
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Réforme du grand Paris : nouvel épisode
Durant l’été, le Président de la République annonçait une conférence territoriale pour communiquer ses décisions pour la refonte institutionnelle de la région capitale. Le scénario semblait acquis : élargissement de la Métropole, suppression des départements de la petite couronne. Mais depuis, le débat fait rage (qui de la Métropole ou de la Région va manger l’autre ? Quel avenir pour les départements et les établissements intercommunaux créés sous Hollande ?). La conférence a donc été reportée d’octobre à novembre, puis à décembre, puis à janvier 2018… Le préfet qui planche sur le sujet a maintenant pour mission d’examiner tous les scénarios possibles. Tout le monde semble d’accord sur une chose : la succession des réformes destinées à réduire le millefeuille institutionnel a accouché de feuilles supplémentaires qui ne font que compliquer la répartition des compétences et des moyens fiscaux propres à chaque échelon. Les populations, spectatrices, ne sont évidemment pas consultées. Il est vrai que l’objectif final est d’éloigner toujours plus les citoyens des centres de décisions. La démocratie locale est devenue un obstacle pour les libéraux.
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Egalité salariale homme-femme
217 ans ! C’est le temps qu’il nous faudra pour parvenir à l’égalité salariale entre les hommes et les femmes si rien ne change. Depuis le vendredi 3 novembre à 11h44 les femmes travaillent gratuitement jusqu’à la fin de l’année. 4 jours de bénévolat de plus par rapport à l’année dernière !
Des salaires inférieurs de 27% par rapport aux hommes, en moyenne, c’est le quotidien des femmes françaises. Il y a différentes explications à cela : la discrimination à l’embauche, les femmes sont sur représentées dans les métiers précaires, petits contrats, horaires limités, carrières incomplètes au fil des naissances… Tandis que les hommes sont sur représentés dans les fonctions de haut cadres et dirigeants, même dans les filières dites « féminines » (santé, social, aide à la personne…) : les petites mains sont des femmes, les cadres sont des hommes.
Loin de se résoudre à la fatalité, des militant.e.s ont manifesté ce vendredi 3 novembre et réclamé l’application des nombreuses lois déjà existantes, mais également la revalorisation des branches de métiers dits « féminins ». Elles dénoncent également la casse du code du travail prévue par les ordonnances Macron, qui va s’attaquer au droit des plus précaires, dont une majorité de femmes. Dans le même temps, le Ministère des droits des femmes disparait et le budget du Secrétariat d’Etat se réduit…
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Une nouvelle étape contre la SS
Le projet de budget 2018 de la Sécurité Sociale prévoit une baisse de 4,2 milliards d’euros, dont 1,2 milliards de réduction pour l’Hôpital public, alors que la cote d’alerte est déjà atteinte pour de nombreux établissements hospitaliers. Pourtant les statistiques montrent qu’ 1 Français sur 2 déclare renoncer à certains soins.
La suppression des cotisations maladie et chômage indexées sur le salaire et leur transfert sur la fiscalité par le biais de la CSG est lourde de conséquences. Elle engage une remise en cause du principe fondateur de la Sécurité Sociale : chacun paie selon ses capacités et est soigné selon ses besoins.
Dans le même temps, le gouvernement décide de continuer à verser aux entreprises les 24 milliards du CICE et d’ajouter 45 milliards d’exonérations de cotisations sociales patronales. L’équilibre de la SS n’est donc pas un problème financier, même si l’absence de cotisations de millions de chômeurs pèse lourd dans la balance, mais politique. Depuis des décennies on assiste au détricotage de cette réforme emblématique de la Libération mise en œuvre par un ministre communiste, pour le plus grand profit du patronat et des assurances.
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Le logement social en danger
Le projet de budget Logement de l’Etat prévoit une baisse de 9,8%, passant de 18,3 milliards d’euros à 16,5 milliards, soit une perte de 1,7 milliards. Les bailleurs sociaux seront contraints de supporter la réduction de l’APL de 5 euros et donc obligés de baisser les loyers. Une perte de 800 millions en 2018, puis de 1,2 milliards en 2019 et de 1,5 milliards en 2020. Ce qui va poser d’énormes problèmes d’entretien des bâtiments et de construction de nouvelles HLM. Cette mesure est destinée à favoriser le secteur de la location privée. Car les dispositifs d’exonérations fiscales pour les acquéreurs de logements destinés à la location ne sont pas remis en cause.
Permis de conduire, carte grise en ligne !
Depuis début novembre, fini les déplacements et les attentes à la sous-préfecture : les procédures d’obtention du permis de conduire et de la carte grise se font en ligne. Dorénavant, il suffit d’effectuer la démarche sur le site gratuit de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS www.ants.gouv.fr) et ensuite attendre l’envoi de ses papiers à domicile. Reste un problème pour les personnes qui ne maitrisent pas l’outil informatique ou qui ne le possèdent pas. Pour elles, la préfecture de Bobigny et les sous-préfectures de Saint-Denis et du Raincy ont mis en place des « points d’accès numérique » ou des médiateurs seront présents pour les aider.
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Appel de Grigny pour la défense de la Politique de la ville Des centaines d’élus de toutes les sensibilités politiques et d’acteurs associatifs, sociaux et économiques ont adopté un appel solennel. Ils demandent de doubler le budget de la politique de la ville pour atteindre 1 milliard d’euros, de doubler le nombre de contrats aidés, de renforcer les services publics dans les quartiers prioritaires… Notre ville est directement concernée, mais Xavier Lemoine refuse de s’inscrire dans cette mobilisation.
Projet de budget de l’Etat pour 2018 Un budget pour les riches et au service de la casse du modèle social français.
RSA : le département refuse de verser 40 millions d’euros et demande à l’Etat d’assumer sa responsabilité en matière de solidarité nationale.
Allongement du congé paternité une pétition en ligne demande de nouvelles indemnisations pour le congé paternité afin de réduire les inégalités hommes/femmes.
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Séance du conseil départemental du 26 octobre Tous les ans le préfet présente son rapport d’activité des services de l’Etat à l’assemblée départementale. L’occasion aussi pour les conseillers départementaux de poser des questions. Dominique Dellac a interrogé le préfet sur les lignes 16 et 17 du grand Paris Express et sur le Fort de Vaujours.
Séance du conseil départemental du 9 novembre Adresse à l’Etat pour qu’il paie les 40 millions d’euros de surcoût du RSA en 2017 ; refus de faire du personnel la variable d’ajustement du budget départemental ; 43 millions supplémentaires pour l’aide sociale à l’enfance afin d’accueillir les mineurs non accompagnés dont le nombre grandit.
Rencontre nationale des président.e.s de CDT Présidente du Comité départemental du tourisme de Seine-Saint-Denis, Dominique Dellac y est intervenue sur les enjeux touristiques de l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Elle a proposé l’adoption d’une déclaration, acceptée, pour la préservation de l’échelon départemental dans l’organisation institutionnelle française.
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