C’est une première en France. Cette coopérative devrait réunir 500 chauffeurs privés, dont un tiers issus de notre département. C’est un syndicat de chauffeurs en rupture de ban avec Uber qui est à l’origine de ce projet. Uber à créé l’illusion chez de nombreux chauffeurs qu’ils devenaient « entrepreneurs », leur propre patron, alors qu’ils sont soumis à des horaires hors normes du code du travail, sans protection sociale et pour une faible rémunération. Cette coopérative de chauffeurs entend créer un modèle alternatif dans le cadre de l’économie sociale et solidaire. Et contrairement à Uber, elle paiera ses impôts en France.
Le Département entre au capital d’une coopérative VTC
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